vendredi 26 avril 2013

NE PAS AVOIR ASSEZ DE PLACE - DOES NOT HAVE ENOUGH PLACE


Cette expression est ambiguë car elle a deux visages complètement différents
sur le fond comme dans la forme. Je vois l'individu se débattre dans des
 directions diamétralement opposées.



L'EXTENSION

La personne concentre son activité à
repousser les murs pour se créer un
espace plus important traumatisant au
passage ceux qui vivent à ses côtés et
qui par voie de conséquence, constatent
que la leur s'amenuise d'autant.
Nous communiquons par tous les moyens
et par tous les pores de notre peau, si notre
place ne nous convient pas, je considère
qu'il s'agit d'un manque dans notre vie
de cellule une et indivisible(*).
Certains vont essayer manu militari d'envahir
le lieu dimensionnel le plus proche pour le
faire sien. A l'abordage avec maintes
échauffourées et de haute lutte.
D'autres vont grossir, enfler, telle la grenouille de la fable de  La Fontaine qui
voulait devenir plus grosse que le boeuf, et montrer ainsi à qui veut bien le
comprendre qu'étant donné leur état, leur place ne peut pas  les contenir.
Cependant, cette situation pose un problème, non seulement pour celui qui
est squatté mais aussi pour celui qui se répand car il en vient à penser qu'il
lui faut 2 places.
Or, si l'on accepte cette hypothèse,  on remet en question l'organisation de la
cellule humaine qui de :

           "1 et indivisible" ====devient===> "2 et divisible"

Elle perd les propriétés communes au groupe humain,  elle se fragilise par son
comportement addictif et mathématiquement par sa nouvelle "équation"de
rattachement à l'espèce  : 2 parties "1" et pas d''indivisible




LA DISPARITION

C'est le mouvement opposé. Ce sont les murs
qui repoussent et recroquevillent  la petite
cellule sur elle-même. Ce pourrait être la
voisine de l'être en extension, par exemple,
elle considère  qu'elle n'a pas assez
d'importance, que sa vie est médiocre et ne
mérite pas d'être vécue.
Dans son cas, c'est sa partie "1" qui est niée,
elle n'est plus qu'indivisible (perdue dans la
masse, c'est-à-dire invisible).
Elle se fait maigrir à outrance jusqu'à devenir
squelettique, transparente, en dissolution.
C'est  également une compulsion, je dirais
que cette attitude ressemble à celle d'une
personne atteinte d'anorexie.
J'ai vu une émission sur cette maladie et notamment le cas d'une jeune fille qui
était en traitement dans un centre de rééducation, dernière chance pour elle
avant les perfusions, de pouvoir se réhabituer à s'alimenter, à garder ce
qu'elle mangeait. A table, elle avalait la nourriture devant le personnel médical
qui était systématiquement présent lors du repas. Par contre, une fois revenue
dans sa chambre, elle faisait les cents pas, des mouvements de gymnatisque
pour perdre la totalité des calories qu'il lui avait fallu ingurgiter devant témoins.
Le reportage s'est terminé sur son départ pour l'hôpital qui dans son cas était
l'antichambre de la mort car son organisme était trop affaibli par des années
de carence alimentaire, il est un moment où le corps ne peut plus être réparé
surtout sans le consentement de son occupant.

Quelle qu'elle soit, l'addiction est une relation communiquante de l'individu à
l'individu (de l'organisme au cerveau) dans un premier temps, si cela ne
suffit pas, ce besoin de se dire va s'extérioriser de l'individu vers les
autres membres de la communauté.
Si ce mal-être ne trouve pas de solution, la petite cellule peut aller
jusqu'à sa destruction comme c'est le cas ici.



C'est l'heure de se quitter, à la semaine prochaine et bien sûr, toujours plus
d'informations dans mon livre car ce texte n'est qu'une approche.








Ces quelques premières fleurs d'un
printemps qui ne semble pas connaître
la demie mesure entre hiver et été !



 (*) cellule "1 et indivisible", je considère que chaque individu de l'espèce
est constitué de 2 parties :

            -      La partie"1" qui une composante de notre créativité

            -      La partie "indivisible" qui se caractèrise par tous les liens
                   qui nous rattachent aux autres cellules de la communaté humaine

si l'un des 2 éléments fait défaut, la cellule est malade, déséquilibrée.


MY TRANSLATION  : DOES NOT HAVE ENOUGH PLACE


This expression is ambiguous because it has two very different faces on the bottom as in form. I see the individual struggle in diametrically opposite directions.








EXTENSION 
The person focuses its activity to push the walls for create a
more important space traumatizing to the passage those who live with him and that consequently, find that their shrinks accordingly. We communicate by all means and by all the pores of our skin, 
if our place does not suit us, I think it is a lack in our life of cell "one and indivisible" (*). 
Some will try to invade by force the dimensional location nearest
for appropriate it. At the boarding with many scuffles and struggle.

Others are going to grow, swell up, like the frog in the fable of Jean De La Fontaine which wanted to be bigger than beef, and thus show whoever wants to understand that, given their condition, their place can not contain them..
However, this situation poses a problem not only for those who is squatted but also for the one that is spreading because he comes to believe that he needs 2 seats.
But if we accept this hypothesis, the organization of the human cell is called into question ::

"One and indivisible" ==== gets ===> "2 and divisible"

She loses the common properties to the human group, she becomes fragile by addictive behavior and mathematically by her new "equation" of family ties to the species : 2 parts "1" and no indivisible''



                                                                

                                                                                          
THE DISAPPEARANCE

This is the opposite movement. These are the walls that push and curl up the small cell on itself. It could be the
neighbor of the being in extension ,for example, she considers that it is not enough
importance, that her life is poor and does not deserve to be lived.
In his case, it was her part "1" which is denied, she is only "indivisible" (lost in the mass, in other words, invisible).
She makes lose excessive weight herself to become skeletal, transparent, dissolved. It is a compulsion, I would say that this attitude resembles that of a person suffering from anorexia.

 I saw a program about this disease and the case of a young girl who was under treatment in a rehabilitation center, last chance for her before the drips, to be able get used to feeding,
to keep what she was eating. At the table, she swallowed the food in front of the medical staffwho was always present at the meal. However, once back in her room, she paced back and forth, movements of gymnatics, to lose all the calories she had to swallow from the witnesses. 

The story ended with her departure for the hospital which in his case was the antechamber of death because her body was too weakened by years of deficiency food, it is a time where the body can not be repaired especially without the consent of the occupier.

 Whatever its name, the addiction is a communicating relationship of the individual to the individual (the body to the brain) in a first time, if that is not enough, it needs to say is going to be externalized of the individual towards the others community members. 
If this ill-being is not solved, the small cell can go until its destruction as is the case here.
 

It's time to leave, at the next week and of course, always moreinformations in my book because this text is only one approach.




 



  
These first few flowers of a Spring does not 
seem to know  the half measure between winter
and summer!










 (*) Cell "one and indivisible", I believe that every individual of the species 
consists of 2 parts :

             - The part "one" that a part of our creative

             - The part "indivisible" which features all links
                that connect us to other cells of the human community

if one of the two elements is missing, the cell is sick, unbalanced.


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