vendredi 17 mai 2013

FAIRE PLACE NETTE - TO MAKE A CLEAN SWEEP

J'imagine un ménage inexorable et minutieux de la place, débarrassant de la
moindre scorie, cet endroit de vie.




 Cette expression implique que la place est
au mérite. L'occupant en titre pouvant être
remercié à n'importe quel moment, sous
n'importe quel  prétexte.
Nous vivons cette situation lorsqu'un
gouvernement décide un remaniement
ministériel au motif que la politique
menée, ne donne pas les résultats
escomptés.
La stratégie consiste à changer quelques
têtes comme des pions sur un échiquier
pour tenter d'avoir un meilleur jeu, une
meilleure main.
Le remplacement de certains hommes par
d'autres nécessitant un grand coup de balai
dans la place afin qu'il ne puisse pas y avoir de  collusion avec l'ancien résident.
Et c'est au  nom de "l'égalité" de traitement que ce même schéma est appliqué
à l'ensemble de la population. La grande différence, c'est que certains ministres
conservent des avantages à vie de leur passage en politique : un gigantesque
" faites ce que je dis, pas ce que je fais ".
Cette conception de la place exige un maître placeur qui choisit les critères de
sélection et le lieu qui nous est imparti.
Nous ne sommes pas très éloignés du "merveilleux" monde évoqué par Orwell
dans son livre "1984" avec son Big Brother et un ministère du bonheur qui
fixent pour tous  ce qui est bon ,  ce qui est bien.








Il existe une autre facette de cette expression
car nettoyer ne suffit pas, elle impose de
retrouver l'endroit tel qu'il était auparavant.
Pour moi, il s'agit de gommer; d'effacer la
moindre trace du passage de l'habitant
précédent comme s'il n'avait jamais existé.
Nous avons connu la petite cellule " 1 et
indivisible" de l'espèce (*) broyée, dénigrée,
précédemment placée et maintenant niée.
Elle n'a  que peu de "place" dans cet univers
où tout est structuré, codifié, régenté par
avance.
Comment concevoir aucun changement dans l'ensemble de la communauté humaine lorsque toutes les portes sont cadenassées? 
Je pense que c'est la raison du désarroi grandissant qui étreint l'homme dans le monde entier. Je crois que lorsque la répression de soi-même devient trop insoutenable le dernier élan de la petite cellule peut aller dans 2 directions pour communiquer son inconfort:

           - vers l'intérieur : elle se détruit (suicide, maladies...)

           - vers l'extérieur : la violence envers les autres (très nombreux cas
              de fusillades dans la foule)

Cependant , dans les deux cas, il s'agit d'une extrême et même souffrance
intérieure.






                                     COUP


                                       DE


                                 CHAPEAU



Je tiens à nous rendre hommage, en tant
qu'êtres humains, qui malgré toutes ces
exactions contre nous, maintenons notre
tête hors de l'eau.
Il faut une volonté et une force incroyable
pour résister à ce rouleau compresseur permanent.
Ce n'est pas l'homme qui doit être formaté mais le monde de
l'argent dans lequel il évolue qui ne correspond pas aux besoins
de sa nature.
L'individu est placé devant un miroir déformant qui l'empêche de
concevoir sa propre image.
Pour l'instant, la société, c'est-à-dire une poignée d'hommes,
a décrété que l'inanimé (l'argent) prévalait sur le vivant (l'espèce
humaine, les autres espèces).
Toutefois, il paraît que nous n'utilisons que 10% de notre potentiel
intellectuel, gageons que lorsque la partie en sommeil va se mettre
en oeuvre, notre histoire pourra prendre un cours complètement
différent.



   A BIENTOT POUR DE NOUVELLES AVENTURES .....



(*) Je conçois pour chaque membre de l'espèce une place personnelle,
inaliénable et chaque individu comme une cellule "1 et indivisible"
de l'espèce composée de 2 éléments indissociables :

         - La partie "1" qui correspond à sa créativité, ses capacités
            à évoluer

         - La partie "indivisible" qui la relie à l'ensemble du groupe
            humain

Quand l'un des 2 constituants est manquant, la cellule est défaillante,
malade, déséquilibrée.
(voir si vous le désirez les messages qui précédent)



MY TRANSLATION IN ENGLISH : TO MAKE A CLEAN SWEEP


I imagine a inexorable and meticulous cleaning of the place, ridding of any slag, this living space.




This expression implies that the place is
on merit. The occupant can be as dismissed 
at any time, under any pretext. We live this
situation when  government decided a
ministerial reshuffle on the ground that the 
policy conducted, does not give results 
expected. 
The strategy is to change some heads like
pawns on a chessboard to try to have a
better game, a best hand.
The replacement of some men by others 
requiring a clean sweep in place in order it 
can not be collusion with the former resident. 
And it is in the name of "equality" of treatment that same scheme is applied to the whole population. The big difference is that some ministers retain  lifetime benefits from their stay in political life : a gigantic "Do as I say, not as I do." 
This conception of the place requires a master "Selling Agent" who chooses selection criteria and place allotted to us. 
We are not very far from the "wonderful" world evoked by Orwell in his book "1984" with his Big Brother and Department of happiness that secure for what is good, what is right.


         



There is another facet of this term as cleaning is not enough, she needed to find the place as it was before. 
For me, it is to rub out, erase any trace of the passage of the inhabitant precedent as if it had never existed. 
We had small cell "one and indivisible" of the case (*) crushed, denigrated, previously placed and now denied. 
It has little "place" in this universe where everything is structured, codified, regulated in advance.
How to conceive any changes to the entire human community when all the doors are padlocked? 
I think this is the reason of the growing confusion that grips the man around the world. I believe that when the repression of oneself becomes too unbearable, the last pulse of the small cell can be 
2 directions to communicate its discomfort:

         - towards the inside: it destroyed itself (suicide, illnesses ...)

        - towards the outside: violence against others (many cases of shootings 

           in the crowd)

However, in both cases, it is of an extreme and same inner suffering




 



                   HATS OFF  TO



                          THE



                  HUMAN BEING











 I wish to pay tribute at ourselves, as human beings, that despite all these exactions against us , keep our heads above water.
It takes a will and an incredible force to stand up to this ongoing road roller.
This is not the man to be formatted but the world of money in which it operates that does not correspond the needs of his nature.
The individual is placed in front of a distorting mirror that prevents design his own image. For now, the society, that is to say, a handful of men, decreed that the inanimate (money) prevailed over the living (species
human, other species).
However, it seems that we only use 10% of our potential intellectual, we expect that when the party sleeps will wake, our history may take a full course different.




                                          SOON FOR NEW ADVENTURES .....

 

(*) I design for each member of the species a personal and inalienable place and each individual as a cell "one and indivisible" of the species composed of two inseparable elements:

             - The part "1" corresponding to its creativity, its capacity to evolve

            - The part "indivisible" that connects it to the whole group human

When one of the two components is missing, the cell is defective, sick, unbalanced. 

(see if you like the previous messages)

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